Die aufgeregten Stellungnahmen lokaler Politiker lassen nicht auf sich warten. So zum Beispiel auf der Webseite von Le Monde: Von "Diskriminierung" ist da die Rede, von "Ausgrenzung" und dass es doch unglaublich sei, dass Nichtmuslimen die Wahl zwischen halal Bulette und Baconburger genommen werde. Und alles wegen ein paar Hamburgern? Hm, vielleicht waere ich auch sauer, wenn es in meiner Lieblingspizzeria ploetzlich keine Kaesepizza mehr gaebe, weil der Inhaber den Veganer-Oekos von nebenan entgegen kommen moechte...? Aber ist es wirklich das, worum es geht? Nein, meint Fateh Kimouche, der die muslimische Verbraucherseite Al-Kanz betreibt:
"En réalité, là encore, ce n’est pas tant que Quick dédie 8 restaurants, seulement 8 sur 350 au total, qui pose problème. C’est encore et toujours l’islam. Aurait-on eu droit à toutes ces saillies médiatiques si au lieu du halal Quick avait choisi un autre positionnement, une autre niche, celle du bio? un Quick thématique avec exclusivement des menus mexicains ou chinois aurait-il eu une telle résonance médiatique. Non assurément, non."Kimouche ist vielmehr der Meinung, dass das Problem die verkrampfte Haltung der franzoesischen Oeffentlichkeit gegenueber der Religion ist:
"Et si vraiment c’est le communautarisme qui pose problème pourquoi tolère-t-on qu’en plein Paris, au 240 boulevard Voltaire, dans le 11e arrondissement, on puisse trouver un Franprix entièrement casher?" (Quelle)
"Selon moi, ces réactions d'hostilité ont deux sources. La première, c'est le réflexe pavlovien d'affolement en France dès qu'il s'agit des religions. Et ce, pour toutes les religions. La seconde, c'est qu'il s'agit en plus de l'islam. Donc quand on ajoute le fait qu'il s'agisse des musulmans, ça explose." (Quelle)Und das meint Lieselotte auch.
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